Jacques Attali, celui qui fut conseiller de Mitterrand pendant 10 ans et participé à à peu près toutes les erreurs stratégiques de la France, aujourd’hui annonce dans sa barbe mal entretenue et le cheveu hirsute, je cite : « Qui aurait cru qu’aujourd’hui, 26 février 2025, qu’on aurait vu le patron et propriétaire du plus grand journal démocrate américain, expliquer que, à partir d’aujourd’hui, il ne publierait que des articles favorables à la liberté d’économie et à la liberté de parole absolue, sans aucun contrôle des fausses nouvelles et des diffamations ? Qui aurait cru que Jeff Bezos impos
erait cela à son journal, le Washington Post, entraînant, et c’est son honneur, la démission du directeur des pages éditoriales ? Ceci devrait être un coup de semonce pour ceux qui n’ont pas encore compris l’évidence : les États-Unis sont en train de devenir une dictature, au nom de la liberté économique qui en fait ne profite qu’aux plus riches, et de la liberté de parole qui ne profite qu’à ceux qui ont les moyens d’avoir la liberté de parole et de diffamer. La double liberté, c’est la double dictature. Nous allons peut-être en faire la tragique expérience aux États-Unis. L’Europe reste et devra rester le bastion de la vraie liberté : la liberté protégée. La liberté garantie. La liberté sécurisée par les moyens du droit et les moyens de la démocratie. ». Donc, pour lui, la liberté de parole, sans censure, qui est le premier amendement de la constitution américaine, et la liberté économique, conduisent à la double dictature ! et prend l’Europe comme référence de liberté. Cette Europe qui empêche les candidats désignés par le peuple de pouvoir être élus (Roumanie, G
éorgie, France, …), notamment grâce aux juges (« La liberté sécurisée par les moyens du droit et les moyens de la démocratie.»). Quand le sieur Attali était plus jeune, il avait fondé avec Mitterrand une banque – la BERD – implantée à Londres et qu’il dirigeait. Les scandales étaient tels qu’il a
du démitionner. Selon «Les Echos citant le Financial Times : « Les accusations ont porté sur le coût d’installation du siège de la banque (55 millions de livres) et notamment sur la destruction des revêtements de marbre, remplacés par d’autres plus luxueux, pour une facture de 750.000 livres. Le goût de Jacques Attali pour les avions particuliers a été abondamment souligné, de même que le laxisme des procédures et des contrôles budgétaires, qui laissaient apparemment une grande latitude à la direction de l’établissement. toujours selon le « Financial Times » il y avait double remboursement de billet d’avion à Jacques Attali et de nouveaux vols privés affrétés par lui pour se rendre à Paris. En outre, le président de la BERD aurait été payé pour prononcer certains discours, en contradiction apparente avec le règlement de la banque, qui précise qu’aucune rémunération extérieure ne peut être acceptée. Voilà, voilà, c’est ce qu’on appelle du socialisme bon teint. Ceux qui donnent des leçons à tout le monde, qui regardent la paill
e dans l’œil du voisin mais qui paradoxalement ne sont pas très regardant sur l’étique… La dictature, ce sont les gens hors-sol et hors d’âge, comme lui, qui la génèrent. La faillite de la France a été provoquée par des cerveaux malades comme le sien, soutien de Macron. C’est derrière Attali que l’herbe ne repousse plus !